This event also marked the official re-opening of Cetate Port, after more than 50 years of inactivity.
see also:
L'Odysee du Danube, par Caroline Alexander
here, a short fragment, describing the arrival at Port Cetate (from the original article)
Tant d’exubérance a dû rendre jaloux les cieux qui se vengent en bourrasques, vents fous et rafales de pluie. L’arrivée au petit port de Cetate se fait pratiquement à l’aveugle. On n’y voit rien mais on entend les cuivres de la fanfare tzigane percer le tumulte de la météo…
Un hangar aux murs blanchis, longues tablées et victuailles dignes d’un tableau de Breughel engloutit les voyageurs détrempés… Miches de pain rondes et chaudes comme des fesses de bébé mulâtre, caviars d’aubergines, haricots blancs, salades irisées, délices de cuisine familiale du pays, cochons de lait et chevreaux grillés à la manivelle au barbecue, vins maison et gnôle du même acabit.
A la fanfare qui continue de faire vibrer ses cuivres sont venus s’ajouter un formidable violoniste, un accordéoniste virtuose et un bout de femme aux cheveux de jais et au sourire édenté qui chante les complaintes tziganes d’une voix brûlante. Un petit bonhomme ridé et à casquette trompette, chante et mime des rengaines apparemment coquines…
'L'Odysee' at Port Cetate
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